La pointe-avant en composite en cours d'assemblage
Le cockpit de l'A350XWB avec de nouvelles fonctions améliorant encore la sécurité en vol et l'ergonomie du pilotage
Airbus vient d’inaugurer la chaîne d’assemblage de l’A350 XWB à Toulouse. Une nouvelle étape vers le 1er vol prévu au printemps 2013 par l’avion MSN1 pour une mise en service un an après en 2014 par la compagnie de lancement Quatar Airways. Le déroulement du programme a pris plus d’un an de retard mais finalement un peu moins que son concurrent américain le 787. Compte tenu de la complexité d’un programme faisant appel à plusieurs centaines de fournisseurs un peu partout dans le monde appelé à s’étaler sur près d’une trentaine d’années cela n’est pas une surprise et reste « normal » au regard de cette industrie. L’essentiel pour Airbus sera d’assurer une montée en cadence rapide pour livrer les 588 premières commandes. La FAL devrait sortir rapidement 13 avions par mois, objectif de départ annoncé par Didier Evrard le patron du programme. Tout ou presque a été fait pour éviter les retards du précédent lancement de l’A380 dans la suplain Chain et « sécuriser » les flux. Trois versions sont commercialisées par Airbus qui attaque à la fois le marché du 787 et du 777. L’avionneur européen avance une consommation plus faible jusqu’à moins 25% par rapport à ces deux produits en fonction des routes et configurations choisies. Airbus a joué sur tous les paramètres avec une propulsion performante, le Trent Roll Royce, en réduisant la masse, avec une part de composite portée à 53%, encore plus de titane et de nouveaux allliages d’aluminium. C’est à la fois bon pour la planète et pour la profitabilité des futurs opérateurs de l’avion. L’A350XWB repousse encore les limites.
La bataille commerciale devrait sans doute s’intensifier dans les mois qui viennent avec un avion qui vole. Pendant la cérémonie d'inauguration, Fabrice Brégier, le patron d'Airbus a rappelé le role des anciens et annoncer que cette nouvelle usine porterait le nom d'un des pères d'Airbus, Roger Beteille, à l'origine des commandes de vols électriques, un des facteurs du succès de l'avionneur européen.Le cockpit de l'A350XWB avec de nouvelles fonctions améliorant encore la sécurité en vol et l'ergonomie du pilotage
Airbus vient d’inaugurer la chaîne d’assemblage de l’A350 XWB à Toulouse. Une nouvelle étape vers le 1er vol prévu au printemps 2013 par l’avion MSN1 pour une mise en service un an après en 2014 par la compagnie de lancement Quatar Airways. Le déroulement du programme a pris plus d’un an de retard mais finalement un peu moins que son concurrent américain le 787. Compte tenu de la complexité d’un programme faisant appel à plusieurs centaines de fournisseurs un peu partout dans le monde appelé à s’étaler sur près d’une trentaine d’années cela n’est pas une surprise et reste « normal » au regard de cette industrie. L’essentiel pour Airbus sera d’assurer une montée en cadence rapide pour livrer les 588 premières commandes. La FAL devrait sortir rapidement 13 avions par mois, objectif de départ annoncé par Didier Evrard le patron du programme. Tout ou presque a été fait pour éviter les retards du précédent lancement de l’A380 dans la suplain Chain et « sécuriser » les flux. Trois versions sont commercialisées par Airbus qui attaque à la fois le marché du 787 et du 777. L’avionneur européen avance une consommation plus faible jusqu’à moins 25% par rapport à ces deux produits en fonction des routes et configurations choisies. Airbus a joué sur tous les paramètres avec une propulsion performante, le Trent Roll Royce, en réduisant la masse, avec une part de composite portée à 53%, encore plus de titane et de nouveaux allliages d’aluminium. C’est à la fois bon pour la planète et pour la profitabilité des futurs opérateurs de l’avion. L’A350XWB repousse encore les limites.