Sous l’impulsion d'associations comme Terr’eau ciel, la conception des espaces verts est amenée à changer.
« Que la nature fertile remplace le béton stérile »
Le mois de février
L'agriculture urbaine est synonyme d'amélioration du cadre de vie. Ici, un potager suspendu dans les bâtiments d'une entreprise.
Jardins collectifs et paysagisme comestible
Terr’eau ciel ambitionne de rendre la ville comestible tout en favorisant le lien social. Avec le partenariat de constructeurs, d’architectes et de paysagistes, l’association aménagera les espaces verts d’une résidence en créant un potager collectif, un rucher pédagogique, des bosquets fruitiers. Un second projet de jardinage collectif est en cours de réalisation dans une résidence comptant environ 400 logements. De plus, les espaces verts de six autres résidences deviendront comestibles dès cet automne. Aussi, Terr’eau ciel accompagne les habitants afin de les aider à s’approprier et à gérer leurs jardins.
Un jardin collectif : concilier détente et développement durable au sein de l'habitat.
Engagements éducatifs et environnementaux
L’association a fabriqué divers jardins pédagogiques dans des écoles toulousaines. Une initiative complétée par l’organisation d’une dizaine d’interventions visant à informer les enfants à propos de l’environnement, l’alimentation et l’agriculture. Parallèlement, Terr’eau ciel est un acteur de la charte Agil’T. Ce programme valorise l’engagement des acteurs qui intègrent les enjeux du développement durable dans leur fonctionnement.
Environnement et pédagogie sont au coeur des projets de Terr'eau ciel.
Benjamin Brousses